img Leseprobe Leseprobe

Les musiciens et la musique

un essai de sociologie de la musique et de musicologie par Hector Berlioz

Hector Berlioz

EPUB
6,99
Amazon iTunes Thalia.de Weltbild.de Hugendubel Bücher.de ebook.de kobo Osiander Google Books Barnes&Noble bol.com Legimi yourbook.shop Kulturkaufhaus ebooks-center.de
* Affiliatelinks/Werbelinks
Hinweis: Affiliatelinks/Werbelinks
Links auf reinlesen.de sind sogenannte Affiliate-Links. Wenn du auf so einen Affiliate-Link klickst und über diesen Link einkaufst, bekommt reinlesen.de von dem betreffenden Online-Shop oder Anbieter eine Provision. Für dich verändert sich der Preis nicht.

Books on Demand img Link Publisher

Geisteswissenschaften, Kunst, Musik / Musik

Beschreibung

Après avoir exercé sporadiquement sa plume dans Le Correspondant, L'Europe littéraire et Le Rénovateur, où il offrait aux lecteurs des professions de foi esthétiques plutôt que des critiques, Berlioz devient collaborateur officiel et donc critique «professionnel» d'abord, en 1834, à la Gazette musicale de Paris, puis, en 1835, au fort respecté Journal des Débats. Dévoilant ses enthousiasmes en langage précis et sa science en langage transparent, il se révèle plus que sceptique envers musiques et artistes estimés pour leur seule valeur marchande. Parfois il exprime son hostilité aux excès des chanteurs de façon délicieusement satirique. Dans ses Soirées de l'orchestre, recueil, publié en 1852, d'articles et de nouvelles écrits dans les années 1830-1840, mais aussi dans "Les musiciens et la Musique"; il laisse libre court à une tribune ironique sur la musique de son temps et les facéties des musiciens. Les premiers textes journalistiques de Berlioz consistent en des polémiques dirigées contre les «dilettanti fanatiques», c'est-à-dire les amateurs au savoir musical limité qui, au temps de la révolution de Juillet, n'appréciaient guère que les broderies, roulades et vocalises du style italien. Le «culte du virtuose» qui motive de telles polémiques est précisément ce qui amène Robert Schumann, en 1834, à fonder la Neue Zeitschrift für Musik, bien que le musicien allemand, pianiste comme le sont nombre de ses collaborateurs, s'en prenne à la virtuosité «insipide» non pas des chanteurs mais des artistes du clavier tels que Czerny, Herz, Hünten et Kalkbrenner, dont les oeuvres inondent le marché européen et suscitent, selon Schumann, un appauvrissement général du goût musical... [cf. Bloom, Peter. « Virtuosités de Berlioz », Romantisme, vol. 128, no. 2, 2005, pp. 71-93.]

Kundenbewertungen

Schlagwörter

méthodes de musique, mémoires, musicologie, musique à programme, Littérature francophone